Le plus ancien monument d’Autrêches était en grande partie
enfoui jusqu’à ce que Messieurs IDEE, MOYEN, PRIMAUX, LEGIERSKI décident de le
dégager de sa gangue végétale.
Ce bloc massif de grès se trouve quelques
mètres à l’Est de l’entrée supérieure du cimetière.
Il s’agit très vraisemblablement d’un
mégalithe qui a été fiché profondément dans le sol et qui a sa légende.
En effet, la vénération
dont cette pierre a
fait l’objet tiendrait à l’empreinte qu’a laissé le genou de Saint-Martin (ou
son pied). La
croyance voulut que Saint-Martin passant par là descendit de son cheval pour
prier : l’infractuosité que l’on peut encore observer aujourd’hui serait la
marque de la déformation du grès sous le genou du Saint.
Il faut remercier de leur initiative nos
vaillants retraités car il était dommage qu’un témoignage de l’âge de pierre,
vénéré depuis au moins l’implantation du Christianisme, soit aussi peu signalé
et ce d’autant plus que les mégalithes sont peu nombreux dans la région.
L'histoire :
Il y a deux mille ans, notre pays s’appelait la Gaule et
ses habitants, les Gaulois …
Il y a trois mille ans les ancêtres des Gaulois,
s’appelaient les Celtes, et leurs prêtres les Druides.
Les Druides, un peu magiciens, beaucoup sorciers,
décidaient qu’en certains endroits, des pierres seraient posées – Pierres
magiques dit-on, ayant des pouvoirs
bénéfiques ou maléfiques, selon leur situation, par rapport aux nœuds
géologiques des lignes du réseau que nous appelons présentement « Artman » et
qui, paraît-il, parcourent le souterrain domaine terrestre.
Notre pierre Saint-Martin serait l’une de ces pierres !
Posée là, depuis des millénaires à l’intersection de deux lignes géo biologiques
souterraines – Son action serait bénéfique, mais voilà, il faut connaître la clé
qui permet de profiter de ses bienfaits.
Pauvres Autréchois que nous sommes, le bonheur est à
portée de la main, mais, qui donc nous donnera la formule magique ?